FESTIVAL OCTOPUS #4

concert musiques inventives

Jeudi 18 janvier 2007
20:30

Avec Max Vandervorst (Belgique) + ORBES aka Manu Holterbach & Sophie Durand (France) 20h30 • 10 euros

Mains d’Œuvres accueille le 1er soir de la 4e édition du festival Octopus dédié aux inventeurs d’instruments. Le 19 janvier, le festival se poursuivra au Centre Pompidou, et le 20 janvier à Point Ephémère.

Les inventeurs d’instruments : chercheurs inspirés, mécaniciens éclairés, informaticiens géniaux et autres mélomanes excentriques, n’appartiennent à aucun courant. Ils composent cependant une « famille » dont il est difficile de mesurer les limites, tant elle est vaste, évolutive et éclectique. Les deux précédentes éditions du Festival Octopus proposaient la découverte de quelques-uns de ces artistes. Ils sont de nouveau à l’honneur de cette 4e édition, avec trois concerts, une exposition d’installations sonores, une rencontre avec l’équipe Octopus autour de la thématique, des performances... autant de rendez-vous qui jalonneront cet événement si particulier pour Octopus, revue des « musiques libres et inventives » qui a soufflé tout récemment ses 12 bougies.

En concert à Mains d’Œuvres le 18 janvier :

Max Vandervorst (Belgique) : Symphonie d’objets abandonnés Ce luthier sauvage et pataphoniste, inventeur du Saxosoir, du Spalafon ou encore de la Guitare Charbonnière, tous nés d’objets de récup’ (aspirateur, arrosoir, pots de fleurs, cailloux, boîte à choucroute et autres objets perdus ou abandonnés) présente un univers de bric et de broc poétique, pour un voyage musical emprunt d’humour.

ORBES aka Manu Holterbach & Sophie Durand (France) : Les Verres Enharmoniques Dispositif pour le moins original, les verres enharmoniques qui se distinguent du cristallophone (verres à pied que le frottement du doigt fait siffler) par leur pied creux, relié par une tuyauterie flexible à une pompe remplie d’eau, contrôlée aux pieds par le musicien, produisent une musique composée de modulations microtonales (battements, glissandi, harmoniques scintillantes) qui joue de la résonance du lieu où elle est interprétée, puisqu’elle n’est aucunement amplifiée...

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